Ça y est... Les matchs de coupe du monde allaient commencer pour le plus grand bonheur de la jeunette de l'équipe d'Angleterre. Âgée d'à pine dix-huit ans, elle était parvenue à se qualifier pour devenir la gardienne titulaire de l'équipe de Quidditch Anglaise. Portant fièrement les couleurs de son équipe, elle avait le sourire et malgré que les fêtes de fin d'années étaient tout proche, on peut dire qu'elle n'a pas fait la une des journaux pour avoir faire des dégâts. Aurore et son équipe était arrivée le premier janvier au Japon, pays d'accueil pour ce match qui ouvre la Coupe. Comme il y a un sacré décalage, elle a passé le plus clair de son temps à s'adapter au fuseau horaire afin d'être prête pour le match. Mais elle n'a pas fait que ça, elle s'est aussi entraînée avec son équipe. Mais ce qui a le plus surpris, c'est son changement de style. La sage petite brunette avait laissé place à une jeune femme excentrique par sa couleur de cheveux désormais caractéristique et qui lui ai propre. Mais en dehors de ça, elle était toujours la même personne qui devait partager ses semaines entre ses entraînements avec ses coéquipier d’Angleterre, ceux des Korrigan Rouges et la célèbre école de sorcellerie Poudlard. Mais s'il y a bien une chose dont elle se passerait bien, c'est bien Poudlard. Malheureusement, elle doit se plier aux lois de son pays qu'est l'Angleterre. Sixième année de surcroît, elle n'aime pas y aller mais il faut qu'elle finisse de s'y former malgré tout. C'est donc avec un tout nouveau look que la jeune joueuse entame cette coupe du monde pour sa seconde année consécutive... Bien que l'année passée, elle n'était qu'un suppléant. Passant ses deux jours à découvrir aussi le pays, elle préfère de loin la culture de ce pays. Accompagnée de sa mère, présente pour soutenir sa fille, les deux filles profitent de ses quelques heures pour discuter de tout et de rien mais surtout du Quidditch. Mais autant dire que la cadette de l'équipe ne passe pas inaperçu avec ses cheveux multicolores et les Japonais semblent apprécier ce changement. Bien qu'elle ne soit pas très connue là-bas, elle a quand même pris le temps de signer quelques autographe avec le sourire. Il faut dire que c'est une étoile montante du Quidditch donc elle espère bien continuer sa carrière pendant encore de longues années. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas profité d'un moment de complicité avec sa mère. Contrairement à elle, la cadette était parvenue à se qualifier mais elle savait que sa mère n'était plus toute jeune non plus alors l'avoir comme supporter et conseillère, c'était déjà très bien. Et puis d'ailleurs, il semblerait que le pays soit véritablement en émoi face à ce match d'ouverture.

Aurore était quand même stressée mais elle se devait de le garder pour elle. Qui ne le serait pas face à une grande première ? Sa mère le sait et elle tente de rassurer sa fille. En effet, la jeune femme savait qu'une fois qu'elle serait sur le terrain, elle ne stressera plus. Et elle avait hâte d'en démordre... C'est sa jeunesse et sa fougue qui font ça. Et puis, Aurore sait que son équipe compte sur elle pour empêcher les Japonais de marquer ne serait-ce qu'un but. Pour elle, il était hors de question que le souafle passe ne serait-ce qu'une fois dans l'un des trois anneaux. Mais elle sait aussi qu'il y a les cognards et elle ne peut pas se permettre d'être dans la lune surtout qu'elle sait que les batteurs adverses s'arrangent pour envoyer ses merveilleuses petites boules sur les joueurs adverses. En soi, c'est pareil du coté de son équipe. Après tout, c'est le but du jeu. Après ses quelques heures de paix et de tranquillité, l'entraîneur se bouge un peu et prépare ses hommes au duel de choc. On devait apprivoiser le terrain de Quidditch japonais... C'était partout pareil et le grand manitou ne plaisait absolument pas. Il fallait donc un peu s'entraîner. Mais Aurore savait que maman était là et qu'elle allait pouvoir la conseiller pour qu'elle soit prête au mieux pour le match. Impatiente, elle avait plus que hâte. Rigolant un peu avec ses partenaires, elle allait devoir faire beaucoup d'effort pour parvenir à s'intégrer à eux mais aussi rendre les entraînements amusants. Il faut de tout pour faire un monde et c'était donc partie pour plusieurs heures d'entraînement sous les regards avisés de sa mère et de son entraîneur. Bien entendu, on oublie pas son médecin sportif et le personnel médical chargé de veiller à sa bonne santé. En effet, depuis sa leucémie, elle est extrêmement bien suivie et son bracelet est toujours à son poignet pour des raisons de sécurité. Il n'y a pas à dire... Son médicomage a vraiment eu une excellente idée avec ce bracelet et avec le temps, Aurore avait fini par oublier sa présence comme si ce simple objet faisait partie intégrante de sa vie. Il faut dire qu'elle n'y prête plus vraiment attention et bien qu'elle démarre une grande carrière de quidditch woman, elle devait rester sur ses gardes... Mais elle n'avait pas la tête à penser à sa maladie alors qu'elle faisait son unique loisir et moyen de décompression … Dans quelques heures... La boucle sera fermée ...


Il est vingt-heure trente heure locale et le stade de Quidditch était plein à craquer. Il semblerait que le Quidditch soit aussi très connu au Japon et cela fait plaisir à voir. Aurore sert sa mère fort dans ses bras tandis qu'elle était habillée avec la tenue d'extérieur de son équipe. Par ailleurs, le terrain de Quidditch est en pleine cœur du palais impérial et de ses jardins. Bien entendu, il a du être « aménagé » car le chef du gouvernement Japonais y vit. Au passage, il sera aussi l'un des supporters pour ce match d'ouverture. Cheveux attachés en queue de cheval haute, la cadette sent son cœur battre à fond la caisse tellement elle avait hâte. Lâchant sa mère, elle l'observe s'éloigner avant qu'elle ne se fasse appeler par son entraîneur. Balai en main, elle rejoint son équipe et ses camarades avec le sourire. C'était l'heure du briefing et elle devait être très attentive car ce sont des dernières instructions. Attentive durant ses dernières minutes, elle mémorise tout avant de se mettre en place pour le moment clé du départ du match : la présentation et le petit spectacle d'entrée. Aurore le maîtrisait comme elle le pouvait mais cela viendra avec le temps. C'était d'ailleurs la première chose qu'elle a du apprendre les tambours résonnent et Aurore se met à sourire. Se frottant vivement les mains, elle agrippe son balai avant de s'envoler au dessus du terrain. Prenant une grande inspiration, elle suit tranquillement ses camarades et elle observe depuis les hauteurs la présentation des Japonais. Alignés, on aurait dit un katana qui fonce droit sur le palais impérial sous une musique traditionnelle. Aurore bouge un peu la tête avec la musique qu'elle apprécie beaucoup avant de mettre ses lunettes. Dans quelques secondes, ce serait leur tour.

Résonne alors le tambour et et hoche la tête avant de suivre ses collègues à fond la caisse. Ça y est... Il était temps et on entendait l'hymne anglais dans le stade. Jouant avec son balai, elle finit par sauter de celui-ci avant de se faire rattraper par ses camarades poursuiveurs et elle tient debout sur une pyramide tandis que son nom est hurlé dans le stade. C'est la chose qui lui fait comprendre qu'il y a énormément de supporters anglais. Il faut dire que sa réputation a lourdement augmentée lorsqu'elle est rentrée chez les Falmouth Falcon's. C'est surtout ça qui a misun coup de pouce à sa carrière. Mais il ne faut pas rêver, elle est très loin de la réputation de Viktor Krum, très loin même. Se laissant ensuite tomber, elle rappelle son balai et grimpe dessus pour rejoindre les yeux. Une fois arrêtée, elle se stabilise sur son balai avant de déposer ses deux mains sur ses lèvres et d'envoyer de nombreux bisous. La tenue de l'Angleterre est du bleu marine mélangé à du noir. C'est comme ça qu'elle a son haut en bleu marine et le bas en noir tout comme sa cape est bleu sur le dessus et noir en dessous. Bien sûr, sur la poitrine, elle porte le blason de l'Angleterre avec le drapeau et sur chacune des épaules, son poste et son équipe d'origine. De cette façon, elle a sur l'épaule droite un korrigan rouge, emblème de son équipe bretonne et sur l'épaule gauche, elle porte un petit écusson avec les trois cercles servant de buts au quidditch.

Là voilà quelque peu soulagée car cela semble s'être assez bien passé pour une première fois. Mais le match n'avait pas encore commencer. Il fallait d'abord saluer ses adversaires, écouter le discours du chef du gouvernement japonais et serrer la main des joueurs adverses. Chose qu'elle fait avec le sourire tout en leur souhaitant un très bon match et une bonne chance. Même si la chance ne peut pas faire beaucoup dans ce sport de haut niveau. C'est alors qu'elle s'incline devant le public avant de prendre position derrière tout le monde et située le plus au Sud. Logique, elle est gardienne et hormis près de ses buts, elle n'a rien à faire sur le terrain. L'attrapeur se trouve donc au dessus, les poursuiveurs sur les cotés à quatre-vingt-dix degrés et pour finir, ce sont les batteurs qui eux se trouvent à ses côtés. Montrant un grand sourire, elle entend le juge demandé si tout le monde était prêt... Hochant la tête, elle pose les yeux sur son capitaine qui confirme après avoir consulter tout le monde... Le juge donne un coup de pied dans la malle afin de libérer les cognards et le vif d'or. Se baissant ensuite pour attraper le souafle, il attend un peu avant de le lancer dans les airs avec l'aide de sa baguette. Le soufle est donc envoyé très haut et les joueurs aussi bien anglais que japonais se jettent dessus tandis qu'Aurore se précipite devant les trois anneaux se trouvant au dessus du lac du parc du palais impérial où elle observe le match avec attention.

Le match était lancé et l'Angleterre est donc la première à mettre la main basse sur le souafle. Et c'est la plus rapide des trois, Darwin, qui l'attrape. Rapidement, elle fait des zig-zag sur l'ensemble du terrain afin de garder au maximum le souafle. Rapidement, elle fait la passe à Weiss qui semble particulièrement avancé. L'attrapant, il regarde droit devant lui. Au loin, il aperçoit un cognard et se baisse pour éviter de se le manger en pleine poire. Non loin de lui se trouve ses deux partenaires poursuiveurs : Rosenbach et Darwin. Passant le souaffle à ses collègues, ils ne font que les échanger jusqu'à devant les trois anneaux où se trouve le gardien adversaire. Darwin récupère le souafle et tente de marquer le premier but du match.


Du coté des batteurs, Stewart et Stanley, cela semble calme jusqu'à ce que la capitaine repère le cognard qui a faillit emporter un de ses poursuiveurs. Faisant signe à son partenaires, ils coupent la route à cette balle folle pour l'envoyer dans le camp adverse. C'est dangereux mais la trajectoire d'un cognard n'est absolument pas maîtrisable. C'est d'ailleurs à cause de ça que ses balles folles sont aussi imprévisibles. Mais les deux batteurs finissent par patrouiller dans la partie anglaise pour le moment et veille au grain de chacun de ses équipiers.

Du coté de l'attrapeur, Ziegler, tout semble calme et bien qu'elle semble en hauteur, elle n'a pour le moment aucune trace du vif d'or. Mais le match ne fait que commencer et ce ne serait pas drôle si le vif d'or se manifestait de suite. Elle garde néanmoins un œil sur l'attrapeur japonais. Sait-on jamais, il n'est pas impossible qu'il repère le vif d'or avant elle. Et ce serait un désavantage pour l'Angleterre. Toute l’équipe, elle compris, espère bien gagner ce match d'ouverture.

Du côté d'Aurore, c'est calme aussi mais elle reste sur ses gardes. Elle n'est pas à l'abri d'un cognard. Mais pour le moment, elle n'a pas de souafle à surveiller même si elle le fait quand même. Installée au milieu des trois anneaux mais en avant, elle essaye de s'arranger pour pouvoir couvrir un maximum de distance afin de garder au mieux les anneaux. Elle en est pas arrivée là pour finir plus bas que terre. Cœur battant et respiration haletante, elle aimait cette adrénaline et cela lui donne une pêche d'enfer.


Ca commence mal car le souafle est piqué par un poursuiveur adverse. Mais les trois poursuiveurs japonais ne se ménagent pas pour autant. Tanaka, Murakami et Nishimura prennent alors en chasse les trois poursuiveurs anglais afin de tout faire pour les empêcher d'aller marquer. Mais les joueurs japonais ne sont pas comme Serpentard et ils sont aisément fair-play. C'est d'ailleurs ce qui rend ce pays très populaire au sein du sport. Jouant le jeu de l'interception, ils essayent à plusieurs reprises avant que Murakami ne se baisse ayant cru un instant que le cognard était pour lui.


Du coté des batteurs, Sasaki et Matsuda, c'est tout aussi calme. Les cognards sont partout mais ils restent prudents. Bien sûr, ils surveillent les batteurs adverses et ils réagissent. En effet, comme les batteurs anglais envoient l'un des cognards chez eux, ils filent droit sur le cognards afin de l'envoyer sur un joueur adverses afin de tenter le KO du joueur. En général quand tu prends un cognard, tu es assommé pour un moment.

Du coté de l'attrapeur, c'est la même chose que du coté anglais. Calme et patient, l'attrapeur japonais scrute les cieux et le terrain à la recherche du vif d'or. Bien sûr, il surveille aussi l'attrapeur anglais. Il serait dommage de laisser l'Angleterre prendre de l'avance. Et en soi, le Japon semble tout aussi déterminé à vouloir gagné ce match. Surtout devant le chef de leur gouvernement qui observe. Les japonais devaient sauver l'honneur.

Par contre, du coté du gardien, Fukuda, c'est loin d'être calme. En effet, les poursuiveur adverse s'approchent à grands pas et il devait être prêt pour réceptionner le souafle. Hors de question qu'il passe. Le match vient tout juste de commencer et que le risque de prendre des points d'avance est déjà installé. Alors non, c'est non. Il va tout faire pour empêcher le souaffle de passer un des trois anneaux.

Raté... L'Angleterre n'a pas pu marqué et c'est le gardien japonais qui récupère le souafle. Mais les poursuiveurs anglais font donc demi-tour afin de rattraper les poursuiveurs japonais qui sont donc en possession de la balle. Mais le match doit aussi avoir un peu de piment alors les poursuiveurs anglais se mettent dans un triangle spécial : un au dessus du groupe, et les deux autres sur le coté. Il s'agit là d'une des bottes anglaises afin de reprendre la balle. Comme les japonais avant eux, ils tentent des interceptions


Du coté des batteurs, cela semblait s'amuser à s'envoyer les cognards entre les deux camps. Ce ne serait pas drôle sinon. Les anglais ont donc bien vu l'un des batteurs japonais renvoyer le cognard par ici. Mais ils n'ont pas dit les derniers mots et les anglais vont donc tout simplement taper avec leur batte dans le cognard qui ne semble pas réellement content de faire le yo-yo entre les deux équipes.

Du coté de l'attrapeur, tout semble toujours aussi calme et bien qu'elle semble en hauteur, elle n'a pour le moment aucune trace du vif d'or. Elle garde néanmoins un œil sur l'attrapeur japonais. Sait-on jamais, il n'est pas impossible qu'il repère le vif d'or avant elle.

Du côté d'Aurore, c'est moins calme. Les poursuiveurs japonais ont le souafle en main et s'approche à grande vitesse des trois anneaux qu'elle doit garder. Serrant fortement son balai, elle observe les poursuiveurs japonais et anglais et elle se prépare à réceptionner la balle. Elle ne doit pas passer. Elle est peut-être la cadette de l'équipe mais elle ne se laisse pas aussi facilement impressionner.



Bien joué. Le gardien réceptionne le souafle lancé par l'un des poursuiveurs anglais. Et cela met les japonais en émoi dans le stade. Cela peut se comprendre puisqu'ils jouent à domicile. Envoyant la balle à Tanaka, qui est le plus éloigné, il peut se permettre de souffler mais il suit quand même le match. Il n'est pas là pour se gratter les couilles comme dirait l'expression mais il semble soulagé de ne pas avoir vu cette balle plongé dans un des anneaux.

Du coté des batteurs, Sasaki et Matsuda, c'est la guerre des boutons avec les anglais puisqu'ils sont un peu comme des enfants avec la balle au prisonnier. Sauf que si tu te fait toucher par cette balle, tu n'es pas vraiment prisonnier mais plutôt hors service. L'enjeu n'est pas le même mais les règles sont presque les mêmes. Du coup, ils font yo-yo avec les batteurs anglais et le cognards qui aimerait bien retrouver sa pseuo-liberté.

Du coté de l'attrapeur, c'est la même chose que du coté anglais. Calme et patient, l'attrapeur japonais scrute les cieux et le terrain à la recherche du vif d'or. Bien sûr, il surveille aussi l'attrapeur anglais.

Par contre, du coté des poursuiveurs, c'est la dépendande vu qu'ils ne font que changer de place et s'échanger le souafle en essayant d'empêcher l'Angleterre de le récupérer. Pas évident en soi mais ils veulent aller jusqu'au bout. Voyons voir comme se comporte le gardien anglais...

Merveilleux. La botte des Anglais marche à merveille puisque les poursuiveurs récupère le souafle en plein vol lors d'un échange entre les poursuiveurs japonais. Victoire pour les anglais qui se séparent alors laissant les japonais prendre du retard. Il faut bien se bouger un peu s'ils veulent marqué. Du coup, comme ils ont de l'avance, les poursuiveurs sont trop loin pour essayer de les empêcher de marquer. Il ne reste qu'un seul obstacle entre eux et les anneaux : le gardien. Casse la mitaine, c'est Weiss qui essaye de mettre le souafle dans un des trois anneaux.


Du coté des batteurs, on se croirait dans une cour pour enfants tellement ils font les fous. Et ça revoit à gauche puis à droite. A croire que le terrain de Quidditch est devenu un terrain de tennis. Mais les match sont aussi là pour amuser. Au passage, plusieurs échanges ont attiré l'attention du public en passant tout près de plusieurs joueurs des deux camps. Mais que voulez-vous les batteurs veillent et empêchent les adversaires d'abattre un des leurs. Normal en soi.

Du coté de l'attrapeur, tout semble toujours aussi calme et bien qu'elle semble en hauteur, elle n'a pour le moment aucune trace du vif d'or. Elle garde néanmoins un œil sur l'attrapeur japonais. Sait-on jamais, il n'est pas impossible qu'il repère le vif d'or avant elle.

Du côté d'Aurore, soulagée de ne pas avoir eu les poursuiveurs dans sa surface, elle libère un soupire avant de se remettre en place. En effet, elle ne peut pas être à la même place en étant en mode « repos » qu'en mode « active ». Elle doit s'adapter mais elle ne doit pas non plus être trop loin de ses petits anneaux chéris. Merci les potos...


Dommage, les poursuiveurs se sont fait roulé au carreau par les Anglais qui ont donc repris le souafle en plein vol. Le temps de comprendre ce qui s'était passé, les Anglais étaient déjà « loin » devant et ils leur seraient impossible de les rattraper avant qu'ils ne tentent de marquer. Merde alors.

Du coté des batteurs, Sasaki et Matsuda, c'est la guerre des boutons avec les anglais puisqu'ils sont un peu comme des enfants avec la balle au prisonnier. Sauf que si tu te fait toucher par cette balle, tu n'es pas vraiment prisonnier mais plutôt hors service. L'enjeu n'est pas le même mais les règles sont presque les mêmes. Du coup, ils font yo-yo avec les batteurs anglais et le cognards qui aimerait bien retrouver sa pseudo-liberté.

Du coté de l'attrapeur, c'est la même chose que du coté anglais. Calme et patient, l'attrapeur japonais scrute les cieux et le terrain à la recherche du vif d'or. Bien sûr, il surveille aussi l'attrapeur anglais.

Par contre, du coté du gardien. C'est de nouveau l'alerte et il se tient prêt à réceptionner le souafle refusant de le laisser passer. Il le refusait déjà avant et cela n'a pas changer. Le gardien s'avance un peu et observe les poursuiveurs attendant la bonne occasion pour essayer de s'interposer. Il ne faut pas que cela passe.

« Et c'est le but... L'Angleterre ouvre le score avec un lancé de Thomas Weiss. 0 à 10 en faveur des Anglais »

Voilà ce qu'on pouvait entendre depuis le stade. En effet, un commentateur se trouvait là et commentait l'ensemble du match. Il en faut bien après tout. Lorsque le but fut marqué, toute la tribune anglaise s'enflamme et se montre enthousiaste. Cela fait vraiment plaisir à voir. Le match devait avoir commencé depuis deux minutes que les Anglais semblaient déjà chaud bouillant. De son coté, l'équipe vient se serre dans les bras en félicitant Weiss de son coup de maître. Les Anglais n'ont pas peur des japonais et ils ont toujours été supérieur à eux en tout points. Mais ils ne doivent pas dormir sur leur laurier car le match ne fait que commencer. Ce serait des points parmi tant d'autre mais l'Angleterre à ainsi l'honneur de mettre le premier but de la saison. L'équipe d'Angleterre se réunit et font « Ooooooooooooolééééééééééééééééééé » tout en levant les mains en l'air. Preuve de la grande complicité qui unis ses joueurs.

De son coté, l’entraîneur les siffle pour les féliciter. Cela avait bien commencer et il fallait que la toute nouvelle équipe d'Angleterre se démarque rapidement. Pour le moment, c'est presque un sans fautes pour les Anglais qui en redemandent sous l'impulsion de leur supporters. Reprenant ensuite leur place en demi-cercle, l'équipe attend la remise en jeu et ils s'observent avec le sourire sur le visage..


Erreur du gardien japonais qui n'a pas su prévoir où allait le poursuiveur anglais. C'est donc une équipe japonaise légèrement déroutée qui soupire afin de regarder la joie de l'Angleterre et de ses supporters. Il faut de tout pour faire un monde et le Quidditch reste un sport assez fair-play. Se regroupant aussi entre eux, ils se remotivent avant de saluer ses camarades anglais et de reprendre position. Cela fait un peu tache mais il ne peut pas aller à l'encontre des choses. Et puis, ce n'est que le début du match alors ils ne sont pas encore perdus. Reprenant place, ils observent les Anglais et le juge relance le souafle très haut avec l'aide de sa baguette. Qui sera l'équipe mettant la main dessus en premier.

Le match était relancé et les poursuiveurs se font piquer la balle sous le nez. Mais contrairement à plus tôt, les Anglais étaient tout proches et tout était encore possible. Et puis, le moral était à bloc avec ce joli but marqué par le représentant masculin du trio. C'était quand même une équipe mixte contrairement au Japon qui avait plus de représentant du sexe masculin. Cependant, les poursuiveurs n'avaient pas le temps de penser à autre chose qu'au souafle. Ils essayent donc d'intercepter le souafle avant que l'équipe adverse ne tente de marquer un but qui égalisera le tout.


Pour les batteurs, tout semble être revenu calme. Avec le but, cela avait un peu cassé la partie de tennis qu'ils faisaient avec les batteurs adverses. Dans le fond, cela pouvait être amusant mais il fallait surtout de la force pour occuper de tel poste. Mais ils n'ont pas peur et ils scrutent le ciel en attente des deux bouboules rondes, rapides et raleuses. Avec une description comme ça, personne ne peut les rater.

Du coté de l'attrapeur, tout semble calme alors qu'elle reprend petit à petit de la hauteur. elle n'a pour le moment aucune trace du vif d'or. Mais le match ne fait que commencer et ce ne serait pas drôle si le vif d'or se manifestait de suite. Elle garde néanmoins un œil sur l'attrapeur japonais. Le but lui avait donner encore plus de motivation et d'envie d'écraser les japonais pour ce premier match de coupe du monde.

Par contre, Aurore a du prendre place rapidement et elle n'a pas eu le temps de se reposer. En effet, les poursuiveurs arrivaient droit sur elle et elle doit agir le plus vite possible et leur laisser le moins de marge possible pour marquer un but qui égaliserait le tout. Prenant une grande inspiration, la cadette n'avait pas quarante solutions pour résoudre le probléme.



Le match était relancé et cette fois, ce sont les trois poursuiveurs japonais qui mettent la main sur le souafle. Mais pas le temps de traîner, ils doivent égaliser pour ne pas laisser l'avantage à l'Angleterre. Ils sont en coupe du monde et il serait dommage de partie avec un désavantage d'entrée de jeu. C'est sur cette optique que les trois poursuiveurs s'échangent le souafle à proximité des trois poursuiveurs anglais prêts à tout pour leur piquer la balle.


Du coté des batteurs, Sasaki et Matsuda, c'est tout aussi calme. Les cognards sont partout mais ils restent prudents. Bien sûr, ils surveillent les batteurs adverses et ils réagissent. Mais pour le moment, avec la remise en jeu, tout à été chamboulé et le match de tennis est donc suspendu jusqu'à ce que l'un des cognards se manifestent sur le terrain. Ils doivent donc attendre.

Du coté de l'attrapeur, c'est la même chose que du coté anglais. Calme et patient, l'attrapeur japonais scrute les cieux et le terrain à la recherche du vif d'or. Bien sûr, il surveille aussi l'attrapeur anglais. Il serait dommage de laisser l'Angleterre avec son avance.

Par contre, du coté du gardien, il peut se permettre de souffler mais il suit quand même le match. Il n'est pas là pour se gratter les couilles comme dirait l'expression mais il semble soulagé de ne pas avoir vu cette balle plongé dans un des anneaux. Voyons voir si le Japon égalise le score ou pas.

Les supporters anglais ont eu peur mais la rapidité et la fougue de la cadette semble avoir surpris les Japonais. Aurore rattrape donc le souafle avant qu'il n'atteigne l'un des trois anneaux. Elle envoie le souafle à l'un de ses partenaires, le plus éloigné et elle se permet de souffler. Elle a eu chaud mais elle espère avoir autant de chance pour la suite du match. C'était son premier match en titulaire alors elle ne compte pas faire la chiffe-molle. Elle en avait chier pour en arriver jusque là et pas question de laisser l'occasion à son entraîneur de la remplacer. Elle n'y tient absolument pas.

Pour les batteurs, tout semble être revenu calme. Avec le but, cela avait un peu cassé la partie de tennis qu'ils faisaient avec les batteurs adverses. Dans le fond, cela pouvait être amusant mais il fallait surtout de la force pour occuper de tel poste. Mais ils n'ont pas peur et ils scrutent le ciel en attente des deux bouboules rondes, rapides et râleuses. Avec une description comme ça, personne ne peut les rater.

Du coté de l'attrapeur, tout semble calme alors qu'elle reprend petit à petit de la hauteur.  elle n'a pour le moment aucune trace du vif d'or. Mais le match ne fait que commencer et ce ne serait pas drôle si le vif d'or se manifestait de suite. Elle garde néanmoins un œil sur l'attrapeur japonais. Le but lui avait donner encore plus de motivation et d'envie d'écraser les japonais pour ce premier match de coupe du monde.

Mais pour les poursuiveurs, le tour était joué et c'est un cri de la capitaine qui se fait entendre lorsque le souafle se retrouve dans les mains de la jeune gardienne. Elle semble en forme. Fonçant comme des fléches, les trois poursuiveurs sont suivis par les Japonais mais deux sont plus en avant leur retirant l'avantage de tenter une interception. Donc, ils étaient deux avec pour seul adversaire : l gardien. Arrivant au plus proche, Darwin tente un tir.



Flûte... Cela ne semble pas plaire aux poursuiveurs cette histoire. Beaucoup semblent sous-estimer la jeune adversaire qui se trouvait devant eux mais pourtant, elle semble à la hauteur de sa réputation. Mais ils n'ont pas le temps de grimacer car la course reprend et les poursuiveurs japonais suivent les poursuiveurs anglais bien qu'ils ne soient pas suffisamment prêts pour les intercepter. Dommage mais ils ne désespèrent pas car si le gardien rattrape le souafle alors l'avantage sera retourné et ils pourront foncer droit vers les anneaux anglais.

Du coté des batteurs, Sasaki et Matsuda, c'est tout aussi calme. Les cognards sont partout mais ils restent prudents. Bien sûr, ils surveillent les batteurs adverses et ils réagissent. Mais pour le moment, avec la remise en jeu, tout à été chamboulé et le match de tennis est donc suspendu jusqu'à ce que l'un des cognards se manifestent sur le terrain. Ils doivent donc attendre.

Du coté de l'attrapeur, c'est la même chose que du coté anglais. Calme et patient, l'attrapeur japonais scrute les cieux et le terrain à la recherche du vif d'or. Bien sûr, il surveille aussi l'attrapeur anglais. Il serait dommage de laisser l'Angleterre avec son avance.

Par contre, du coté du gardien, ses battements cardiaques s’accélèrent au fur et à mesure que les poursuiveurs anglais approchent. Bien sûr, il sait ce qu'il a à faire et il espère savoir où ça va tirer pour pouvoir rendre l'avantage à ses camarade. Fixant le souafle, il se tient prêt à réagir.

« BUT... Les Anglais creusent le score avec un lancé de Darwin. 0 à 20 pour l'Angleterre »

Voilà ce qu'on pouvait entendre depuis le stade. En effet, un commentateur se trouvait là et commentait l'ensemble du match. Il en faut bien après tout. Lorsque le but fut marqué, toute la tribune anglaise s'enflamme et se montre enthousiaste. Cela fait vraiment plaisir à voir. Le match devait avoir commencé depuis deux minutes que les Anglais semblaient déjà chaud bouillant. De son coté, l'équipe vient se serre dans les bras en félicitant la chef de son coup de maître. Les Anglais n'ont pas peur des japonais et ils ont toujours été supérieur à eux en tout points. Mais ils ne doivent pas dormir sur leur laurier car c'était loin d'être fini. Heureuse, l'équipe reprend place tout en discutant un peu entre eux mais autant dire que les sourires sont bel et bien visible sur les visages des anglais.

Reprenant place, chacun des joueurs avait une place qui lui était affecté dès l'entrée dans « l'aréne ».  Car pour beaucoup, c'était un jeu barbare mais comme des masochistes, ils en demandaient encore plus. Se calmant, la remise en jeu est faite et c'est l'Angleterre qui réagit en premier en attrapant le souafle. Se montrant malin, l'un des poursuiveurs l'envoie au loin permettant à ses collègues de prendre de l'avance ou pas. C'était à voir si les Japonais allaient l'attraper avant eux. Pendant ce temps, tout le monde reprend sa « place » respective. Chose pas compliqué en soi pour être honnête.

Si les japonais ne récupèrent pas le souafle alors les poursuiveurs anglais vont s'échanger le souafle jusqu'aux trois anneaux où un lancé sera de nouveau effectué par Darwin qui semble avoir la forme comme l'ensemble des autres membres de l'équipe d'Angleterre. Et pourquoi pas un troisième but pour chauffer encore plus le stade et les supporters anglais qui étaient présents pour les encourager.



Le deuxième but semble être beaucoup moins apprécié... Cela va sans dire. Lâchant des soupirs désespérés , l'équipe se regroupe et tente de se remonter le moral. Après tout, ce n'était que le début et quelques minutes s'étaient écoulés depuis le début. Rien n'est encore joué. Le capitaine parle avec ses joueurs qui retrouvent le sourire et ils allaient pouvoir passer à autre chose. Ils doivent surtout se concentrer sur le match et les prochaines actions.

Reprenant place autour du centre, ils attendent que le juge remette en jeu le souafle pour se relancer dans l'action. Malheureusement, ils réagissent trop tard mais lorsqu'une opportunité se présente à eux. L'Angleterre lance au loin et les poursuiveurs Japonais tente de récupérer le souafle. Après tout, eux aussi veulent marquer.


Si le souafle est intercepté alors les japonais vont droit aux arrêts de jeu anglais où le gardien anglais va devoir faire ses preuves parce que finalement, ce n'est pas avec un unique arrêt que les preuves sont faites. Qui de l'Angleterre ou du Japon va marquer ? Suspense... suspense...

« ENCORE UN POUR L'ANGLETERRE ! Doublon de Darwin. 0 à 30 en faveur des Britanniques ! »

Voilà ce qu'on pouvait entendre depuis le stade. En effet, un commentateur se trouvait là et commentait l'ensemble du match. Il en faut bien après tout. Lorsque le but fut marqué, toute la tribune anglaise s'enflamme et se montre enthousiaste. Cela fait vraiment plaisir à voir. Le match devait avoir commencé depuis deux minutes que les Anglais semblaient déjà chaud bouillant. De son coté, l'équipe vient se serre dans les bras en félicitant la chef de son coup de maître. Les Anglais n'ont pas peur des japonais et ils ont toujours été supérieur à eux en tout points. Mais ils ne doivent pas dormir sur leur laurier car c'était loin d'être fini. Heureuse, l'équipe reprend place tout en discutant un peu entre eux mais autant dire que les sourires sont bel et bien visible sur les visages des anglais.

Reprenant place, chacun des joueurs avait une place qui lui était affecté dès l'entrée dans « l'aréne ».  Car pour beaucoup, c'était un jeu barbare mais comme des masochistes, ils en demandaient encore plus. Se calmant, la remise en jeu est faite et le juge allait remettre en jeu le souafle tandis que le match tourne en la faveur des Anglais pour la plus grande joie des supporters qui se dont entendre dans le stade.


Le troisiéme but passe encore moins et attire des grimaces sur les visages aussi bien des joueurs que des supporters... Cela va sans dire. Lâchant des soupirs désespérés , l'équipe se regroupe et tente de se remonter le moral. Après tout, ce n'était que le début et quelques minutes s'étaient écoulés depuis le début. Rien n'est encore joué. Le capitaine parle avec ses joueurs qui retrouvent le sourire et ils allaient pouvoir passer à autre chose. Ils doivent surtout se concentrer sur le match et les prochaines actions.

Reprenant place autour du centre, ils attendent que le juge remette en jeu le souafle pour se relancer dans l'action. Ce troisiéme lancé est difficile à encaisser mais rien n'est encore perdu même si tout semble montrer que les Anglais sont plus organisés et plus malins que les Japonais.